Mais quelle est cette série coréenne qui vient de détrôner Lucifer et La Casa de Papel dans les programmes les plus visionnés de Netflix ? Squid Game a en effet crée la surprise dès sa sortie vendredi dernier en cartonnant tout sur la plateforme. Ce drama gore sous fond de jeu d’enfants mortels est venu faire kiffer les fans de Battle Royale en remettant (encore) une pièce dans la machine dans le genre survivaliste.
Le scénario : survivre
Si le pitch de Squid Game n’est pas révolutionnaire, il n’en reste pas moins intriguant. 456 coréens sont emmenés sur une île pour s’affronter dans des jeux. Ils ont un point commun : ils sont tous endettés et ont besoin de gagner de l’argent pour survivre. Sauf qu’évidemment ils ne savent pas que ces jeux sont totalement mortels, que si il y a défaite il y a mort sur le coup sans pouvoir retourner à la case départ.
- “GlassesGuy”, c’est le nom de la collection de NFT lancée par le PDG de Juno7 John Fritz Moreau
Le PDG du media en ligne Juno7, John Fritz Moreau lance sa collection de NFT (Non fongible token) Glassesguy.
Ces certificats numériques infalsifiables qui attestent l’authenticité d’un objet virtuel qui sont les NFT (non fongible token) permettent que le marché de l’art explose. Pour certains, les NFT sont l’avenir de la propriété, pour d’autres, une mode réservée aux collectionneurs et aux spéculateurs.
Ce nouvel asset est une révolution qui met en avant l’authentification de certificat de propriété. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui le Crypto-Art. Le PDG de Juno7 lance sa nouvelle collection de NFT dénommé Glassesguy. Une collection de 1000 portraits uniques d’un travailleur intelligent créés par John Fritz MOREAU dans le métaverse de la blockchain ETH.
Le prix de base pour un NFT Glassesguy est de 0,005 ETH (Equivalent de USD 12.41), en attendant quelle ait une plus grande valeur. Ce travailleur intelligent du métaverse de 1000 portraits uniques qui incarnent une nouvelle génération de travailleurs et d’investisseurs crypto est disponible sur l’une des plus grande marketplace pour les NFT OpenSea sur ce lien : https://t.co/Abt5MmzQFy
Découvrir la suite sur Juno7
- 2% de la fortune d’Elon Musk peut-elle éliminer la faim dans le monde?
“Six milliards pour aider 42 millions de personnes qui vont littéralement mourir si nous les abandonnons à leur sort, ce n’est pas difficile” C’est ce qu’à déclaré David Beasley, le directeur du Programme Alimantaire Mondiale (PAM), dans un article paru sur CNN.
Ce dernier considère que les plus grandes fortunes devraient permettre un changement humanitaire radical, notamment pour les pays touchés durement par le changement climatique et la crise sanitaire.
Une attaque à laquelle le milliardaire a souhaité réagir. Sur Twitter, Elon Musk déclare: « Si l’ONU peut dire ici comment exactement vous pouvez éliminer la faim avec 6 milliards de dollars, je vais immédiatement vendre des actions de Tesla et le faire. Il doit s’agir d’une explication ouverte, afin que le public puisse voir exactement comment l’argent est dépensé. »
David Beasley lui a alors répondu que le reportage de CNN n’était en effet pas exact. « Six milliards de dollars ne mettront pas fin à la famine mondiale, mais ils empêcheront l’instabilité géopolitique et les migrations de masse, et sauveront 42 millions de personnes qui sont au bord de la famine. Avec votre aide, nous pouvons apporter l’espoir, la stabilité et changer l’avenir. » Il a conclu son message en invitant à la discussion le milliardaire.
« Publiez vos dépenses actuelles et proposées en détail, afin que les gens puissent voir exactement où va l’argent. La lumière du soleil est une chose merveilleuse », a répondu Elon Musk, qui ne semble pas convaincu.
Cette conversation lève la voile sur les agissements réels des organisations mondiales à but non lucratif dont les motifs ne sont pas toujours clairs et douteux. En effet, 6 milliards de dollars sont très loin de suffir pour éradiquer la faim dans le monde. C’est à peine le budget national pour une année fiscal dans un pays du tiers-monde.
- À la rencontre de ce petit coin de rêve qui porte si bien son nom : RevCiné
Pourquoi vous aimez vous rendre au cinéma? Les raisons sont multiples. Pour certains, c’est pour se distraire, pour d’autres, pour tuer le temps ou encore, le plus intéressant de tout ça, une catégorie de gens trouve du plaisir en s’y rendant juste comme ça, sans aucune bonne raison. Chez nous en Haïti chanceux s’estiment être celles et ceux qui, par amour pour les salles de cinéma, en trouvent aisément à leur disposition. En tout cas, pour nous à la capitale, tout juste à Pétion-Ville, a proximité de la station, plus précisément au numéro 24, à la rue Lambert, près de l’église de Saint-Jean Bosco, un complexe simple et à la portée de tous : New Quality, composé de plusieurs bâtiments, dont celui qui m’intéresse le plus : RevCiné. Partons donc à la rencontre de celui qui a eu la brillante idée de doter Pétion-Ville d’une salle de cinéma simple, accueillante et ouverte à toutes les catégories. Je vous raconterai par la suite comment, généralement, ça se déroule à l’intérieur. C’est parti!
Abordable et sympathique, amant des films de science-fiction, Monsieur Rolf LOUIS a accepté de répondre à mes différentes questions avec joie.
Issu d’une famille de trois enfants, ne à Port-au-Prince, Monsieur LOUIS a toujours eu, dès sa plus tendre enfance, de grands rêves pour son pays natal. Enfant turbulent selon ses dires, il aimait courir et était toujours très créatif, avec ses jeux électroniques surtout. Mélomane, cinéphile, pianiste, fan des mathématiques et malgré son titre d’architecte, il a toujours eu ce côté rêveur qui l’a poussé, de concert avec quelques collègues et camarades de classe, il y a déjà trois ans de cela, à fonder le fabuleux RevCine. Après maintes tentatives pour placer Rev Cine au centre-ville et dans d’autres places, ils ont fini par le placer à Pétion Ville, malgré les contraintes.
Si vous vous y êtes déjà rendus, laissez-moi vous faire revivre l’instant magique. Et si vous n’y êtes pas encore allés, c’est une belle occasion de découvrir ce coin magnifique et pratiquement chouchouté par les enfants et jeunes principalement.
À l’intérieur de ce beau bâtiment jaune, plusieurs compartiments, dont un hôtel tout en haut, au dernier niveau, une firme, un magnifique restaurant au fond à droite et un call center, deux stores, juste en face de la salle de projections. En y arrivant, on doit descendre un escalier de quelques marches seulement, assez pratique pour ceux qui éprouvent de la difficulté à marcher. Au milieu de la grande salle : un petit kiosque qui n’échappe pas aux accro aux gâteries : crème glacée selon vos goûts, popcorn, bonbons chocolats, tout pour vous faire céder aux caprices de vos papilles gustatives!
Un petit tour à droite, juste après une porte vitrée, une autre petite salle où, d’habitude, grouillent les gens venus regarder un bon film. Enfants, jeunes, adultes, à la queue leu-leu, s’impatientent dans la longue file d’attente et se hâtent de récupérer leurs précieux tickets pour s’asseoir à une bonne place. Bonne place qui varie selon les gouts, bien sûr : Pour certains, c’est devant l’écran, aux premiers rangs, qu’ils doivent se trouver. D’autres, au milieu. Une autre catégorie préfère avoir les places arrière, en toute tranquillité. En tout cas, peu importe sa place, les chaises sont assez bien disposées pour éviter de cacher la vue à quiconque dans l’assistance.
Chacun son ticket dans une main, coca-cola, popcorn, cornets de l’autre, c’est réellement là que tout va commencer! Après s’être assuré que tous les portables sont bien éteints, tous les enfants bien installés, et les appareils prêts à fonctionner, place aux acteurs de la télé! Sur le grand écran : aventures, comédies, dessins animés, films d’actions, d’horreurs, documentaires, tout pour les amants de sensations fortes, ceci, pour toutes les occasions : Halloween, Saint-Valentin, pour la rentrée des classes, les vacances d’été, et les fêtes de fin d’année, évidemment!
Pendant le film, des chuchotements issus de tous parts, de hoooo, des haaa, des fous rires de toutes sortes, accompagnés de bruits de doigts qui pénètrent un paquet de popcorn ou de chips, du fameux tchhhiiiit émis par les bouteilles de gazeuses quand elles s’ouvrent ou encore des petits bambins rebelles laissant parfois leur place pour aller se promener dans l’allée principale et leurs parents tout honteux qui courent après eux pour les récupérer et les ramener s’asseoir. Sans oublier ces larmes de joie qui coulent parfois sans notre accord, ces doigts qui s’enlacent et ces têtes qui se posent tendrement sur une épaule. Tout ça, dans le noir total.
Une expérience à faire, un coin à visiter, un moment tout à fait magique que vous n’allez surtout pas regretter. Que ce soit en solo, en famille, en couple ou entr’amis, l’atmosphère est le même : Accueil chaleureux et espace tranquille.
Monsieur Rolf LOUIS a eu un dernier mot lors de notre petite entrevue, un souhait, que j’espère vivement le voir se réaliser : Il désire, en effet, avoir beaucoup plus de salles en Haïti, faire de la production, exploiter les films haïtiens surtout. Pas étonnant pour un entrepreneur qui est accro à son pays et qui désire laisser positivement sa trace. Malgré les défis auxquels il fait face au quotidien, ce n’est pas une raison valable pour le CEO de RevCiné d’abandonner. Surtout lorsqu’il sait qu’il fait le bonheur de plein de gens dans la ville et les zones avoisinantes. Un modèle à suivre.
Un grand merci à tous ceux qui, grâce à leur imagination et créativité, continuent d’offrir des petits moments de pur bonheur a plein de gens. Après une journée fatigante, une semaine débordante d’activités, un petit paradis pour s’évader, n’est jamais de trop. Un coin de rêve ou l’on peut, en l’espace d’une heure de temps ou plus, oublier tout ce qui se passe ailleurs.
On dit souvent que regarder un bon film, c’est beaucoup mieux au cinéma. Rev Ciné le prouve si bien. Tout en souhaitant que tous vos souhaits puissent se réaliser dans un délai record, nous vous disons bravo et bonne continuité, Monsieur LOUIS!
L’originalité de la série vient du fait qu’il ne s’agit pas de simples jeux, mais de jeux d’enfants remaniés version glauque. Par exemple, il y a le 1.2.3 soleil, sauf que si les participants bougent, ils sont fusillés sur place. Dans le même genre il y a aussi le jeu de la corde, sauf que si leur équipe ne tire pas assez fort elle tombe dans un trou béant. Bref, on l’aura compris, Squid Game ne fait pas trop appel à notre nostalgie enfantine. L’originalité de la série vient du fait qu’il ne s’agit pas de simples jeux, mais de jeux d’enfants remaniés version glauque. Par exemple, il y a le 1.2.3 soleil, sauf que si les participants bougent, ils sont fusillés sur place. Dans le même genre il y a aussi le jeu de la corde, sauf que si leur équipe ne tire pas assez fort elle tombe dans un trou béant. Bref, on l’aura compris, Squid Game ne fait pas trop appel à notre nostalgie enfantine.
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